Sommés de quitter le 9 janvier 2019, les occupants des homes et résidences universitaires de l’Université de Kinshasa sont partis, mais, le constat est surprenant après leur déguerpissement. Sur place, les portes et les vitres de ces résidences ont été cassées. On rapporte que dans certaines chambres, on a retrouvé des matières fécales et il y règne des odeurs des urines. Certaines salles ont été carrément brûlées. Ces actes de vandalisme ont aussi touché les auditoires dont les livres ont été détruits et les vitres, bancs et tables cassés. Il semblerait que trois armes, onze munitions et un chargeur ont été découverts au Home 8.
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