La manœuvre de sabotage des travaux du Projet Tshilejelu au Kasaï central, précisément à Kananga, est amorcée par les ennemis de Félix Antoine Tshisekedi. Ceux-ci ont pour stratégie l’instrumentalisation de la population centre-kasaienne. On en veut pour preuves des articles de presse, mitonnés dans des officines funestes tant à Kinshasa qu’à Kananga, avec des titres au vitriol, dans le but d’amener la.population dans la digression. Ces articles, ce qui étonne, portent tous sur la lettre du directeur provincial de l’Office de voirie et drainage (OVD), adressée à l’entreprise CREC7, dans laquelle ill demande 20% du marché du Projet Tshilejelu dans la ville de Kananga. CREC7 ayant refusé de céder la part demandé, l’OVD Kasaï central prend la décision de.devenir juge et partie, et son directeur provincial se dresse sur ses ergots en faisant appel à ses alliés du monde médiatique pour déverser de fausses informations dans l’opinion. Il se permet d’affirmer que la population de Kananga garde un mauvais souvenir du Programme des 100 jours, ce qui est une mauvaise lecture de la situation, étant donné qu’un rapport de la mission mixte de contrôle rendu public par l’Office des routes, sur la suppression des points chauds de la route nationale n°1 entre Mbuji-Mayi et lac Munkamba du PK5 au PK 93, la suppression de 40 km des bourbiers sur la route Kananga-Kalamba-Mbuji, sur le contrat de concession existant, démontre clairement les réalisations faites avec le montant de 2 250 000 dollars sur les 4 500 000 dollars remis à l’entreprise CREC7. La question qui se pose est celle de savoir en quoi cette entreprise bloquerait le chef de l’État?
D’aucuns ne comprennent pas ce qui se passe dans cette partie du pays. S’agit-il.d’un.acharnement ou du sabotage de cet ambitieux projet initié par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi ? Sinon, que couve la confusion qu’entretient le directeur provincial de l’OVD? Deux journalistes ont publiés des inepties, après avoir été induit en erreur. .
Se pourrait-il que le directeur général de l’OVD, Victor Ntumba, soit en train de souffler à la fois le chaux et le froid en donnant des ordres au directeur provincial ou en refusant que son entreprise joue son rôle ? Maître d’ouvrage délégué, chercherait-il à se transformer en bureau de contrôle ? Si ce n’est pas qu’on veut se moquer du peuple.du Kasaï central ou chef de l’Etat, pourquoi le directeur provincial tente de convaincre l’Office des routes de fournir un mauvais rapport sur les graviers de Nganza ? Une autre question : où est-ce qu’on a stocké les buses et si rien n’est fait dans le cadre du Projet Tshilejelu, pourquoi l’OVD interdit au CREC7 de construire les caniveaux sous prétexte que les caillasses de Nganza ne sont pas appropriés?
Alors que CREC7 dispose de tous les materiels pour débuter les travaux, on a.compris que les initiateurs de cette campagne de sape et diabolisation ne visent que l’arrêt des travaux.
Il est facile de comprendre qu’il s’agit d’une cabale. En effet on ne peut comprendre que lorsque l’Office des routes recourt à la carrière décriée de Nganza, cela ne pose aucun problème, mais on préfère demander à CREC7 de retourner vers Mbuji-Mayi pour le concasseur.
C’est le cas.de dire que les deux journalistes entrainés dans la désinformation et la calomnie feraient mieux de revenir à l’objectivité et de refuser toute instrumentalisation . En tant que professionnels des.medias,.il aurait fallu qu’ils aillent à la source, à CREC7 7 en vue d’avoir la version originale des faits.
De toute évidence, l’un des articles de presse a été publié après la correspondance du directeur provincial de l’OVD Kasaï-central qui aurait visiblement reçu des instructions de la.hierarchie à Kinshasa. Les manoeuvres obscures du bureau de contrôle mixte sont desormais connues et seront toujours dénoncées.
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