Les détracteurs de Bruno Tshibala montent une fausse vidéo contre son fils Bertrand

Ayant échoué dans leur campagne de sape, les détracteurs du Premier ministre sortant, Bruno Tshibala, sont devenus comme des chiens enragés, prêts à mordre n’importe qui.  Il suffit d’être enfant ou proche de Saint Brutshi pour qu’ils vous placent dans leur « collimateur ». Dans leur imagination pernicieuse, ils ont monté une fausse vidéo contre Bertrand Tshibala, l’un des fils de Tshibala Nzenzhe, une fausse œuvre.

Les experts dévoilent un montage fait de toutes pièces

Un spécialiste en cinéma et création des films d’animation 3D qui maitrise bien les logiciels Adobe Photoshop et Adobe pro,  qui a analysé la vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, laquelle montre quelqu’un  présenté comme Bertrand Tshibala, se masturbant, a démontré ric à rac que c’est un montage, fait malheureusement dans le but de salir la réputation de la famille de Bruno Tshibala.

Bertrand Tshibala sur lequel ils veulent jeter le discrédit, est un licencié en droit et quelqu’un pourvu d’acuité  intellectuelle et d’un sens moral élevé car ayant été éduqué par des parents chrétiens  modèles.  Le fils Tshibala n’est ni adepte du bling bling, moins encore du tatouage. Or, le faux Bertrand présenté dans la vidéo est plus que tatoué au bras. Alors que le vrai Bertrand n’est pas velu,  celui de la vidéo est à la fois poilu et barbu.

En effet, les ennemis de Bruno Tshibala sont essoufflés et cherchent à faire feu de tout bois. Tshibala qui depuis son bas âge obéit à la loi de l’effort, a réalisé une action qui le fait entrer haut la main dans l’histoire glorieuse du Congo. Grâce aux élections, particulièrement à la présidentielle qu’il a organisée en 2018, Tshibala est l’homme par lequel l’alternance au sommet de l’État est arrivée en RDC. « Ceux qui attaquent Bruno Tshibala ont du mal à le juger sur son bilan qui est largement positif. Il avait un seul grand engagement au début de son mandat, à savoir organiser les élections. Ce pari, il l’a gagné. Nous avons eu une alternance et une passation pacifique du pouvoir au sommet du pays. C’est une première », affirme un proche au Premier ministre sortant.