COJENA : Paul Ramazani et la jeunesse derrière Shadary

Le Collectif des jeunes nationalistes (COJENA), par son initiateur, Paul Ramazani Muluta a, dimanche 23 septembre, appelé les jeunes à soutenir la candidature d’Emmanuel Ramazani Shadary à la présidentielle du 23 décembre 2018.    

Cela s’est passé lors de la sortie officielle de l’ASBL. « Est née  à Kinshasa, capital de la RDC, une Synergie des Forces vives des jeunes émus de l’amour de la patrie dénommée : COLLECTIF DES JEUNES NATIONALISTES, (COJENA) », peut-on lire dans la charte de l’association. Le Secrétaire général du COJENA, Aaron Mushizi a, à cet effet, rappelé le combat des pionniers de l’indépendance du Congo parmi lesquels Simon Kimbangu, Patrice Emery Lumumba et Mzee Laurent Désiré Kabila pour la lutte qu’ils avaient mené pour la démocratie. D’après Monsieur Mushizi, c’est sous le leadership de Joseph Kabila que le combat pour la démocratie a pris corps et cela est reconnu tant au niveau national qu’international. L’objectif poursuivi par le COJENA est l’élection de Ramazani Shadary tel que stipulé dans le code de bonne conduite de l’association. « …faire élire le Candidat du FCC, Emmanuel RAMAZANI SHADARY au travers la fédération de toutes les forces vives à l’élection présidentielle du 23 décembre 2018 », peut-on lire dans le code de bonne conduite du COJENA.

Pour Aaron Mushizi, chaque jour qui passe, nous rapproche un peu plus des événements que tout le monde attend. Il a appelé les 60 % de jeunes Congolais à se mettre en ordre de bataille derrière Emmanuel Shadary, le choix du chef de l’Etat et candidat du Front Commun pour le Congo, lors de la présidentielle du 23 décembre 2018. « Lançons un appel vibrant à toute la jeunesse congolaise à travers le COJENA à soutenir Emmanuel Ramazani Shadary pour que la victoire soit certaine », a-t-il lancé.

« Emmanuel RAMAZANI SHADARY s’inscrit dans la continuité de la vision du Président de la République, Son Excellence Joseph KABILA KABANGE de faire de la  RDC un pays fort, uni, prospère et émergent », a-t-il conclu.