La conférence internationale sur la couverture santé universelle s’est tenue vendredi 14 février, à Kinshasa. Organisée avec l’appui du chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, elle a connu la participation de plusieurs intervenants, parmi lesquels Néné Ilunga Nkulu, ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, ainsi que de certains Représentants du gouvernement, de la société civile, des experts nationaux et internationaux et des partenaires. Y a également pris part le Conseiller du chef de l’Etat chargé de la couverture maladie universelle, lequel a indiqué que la conférence organisée ce jour constitue une occasion de mobilisation des ressources en faveur de la couverture universelle, au-delà d’être un moment de lancement du processus de la Couverture Santé universelle en République démocratique du Congo. Ce dernier a rappelé le fait que chaque Congolais a droit à la santé, sans aucune discrimination, ce « étant donné que la santé est un droit qui ne doit pas dépendre de moyens financiers dont disposent les personnes.
Prenant la parole, Néné Ilunga Nkulu a reconnu, dans son allocution, que l’absence de la couverture sanitaire universelle perpétue la spirale de la pauvreté et détruit la base communautaire, ce qui entrave le progrès social et économique en RDC. La patronne de la prévoyance sociale en a profité pour exhorter l’assistance à pouvoir se référer à l’adage qui dit « mieux vaut prévenir que guérir », pour le bien-être de la population.
En effet, sur les 20 piliers placés au centre des priorités du président Félix Tshisekedi, la couverture santé universelle occupe le 9ème rang. Celle-ci permettra à chaque Congolais, sur toute l’étendue du territoire national, à avoir accès, à tout moment qu’il sera important, aux soins de santé de qualité et à moindre coût.
0 comments